Le tableau ci-dessous (voir lien) fait apparaître que
les fusions concernent des universités dont le site est à peu près homogène (Strasbourg, Grenoble, Bordeaux mais pas avec Bordeaux 3, Rennes qui l’envisage, Aix-Marseille)
les comue seraient largement dominantes en Ile de France mais aussi dans le cas de choix fédéraux (Lille, Toulouse, Bretagne,...)
l’association semble être la part laissée par des universités fusionnées à des sites éloignés (Mulhouse/Strasbourg, Grenoble/Savoie,...)
l’architecture d’ensemble semble promettre des empilements entre des universités fusionnées avec à l’échelle régionale des comue ou des associations dont les contours sont quasi exclusivement des conventions d’association avec un EPCS chef de file ce qui fait hésiter les associés envisagés.