Une addition de mécontentement -fussent-ils pour certains justifiés – ne constitue pas une politique. La négation de ceux-ci non plus.
La dernière grande « affaire » des tranches horaires remontent à 2004 soit tout juste 10 ans. Il n’est pas sûr que nous ayons grandement progressé depuis. Pourtant la situation de l’université (en générale, à P8 aussi) a sensiblement changé depuis. Ce qui ne simplifie pas les données du problème alors même que nous voyons se multiplier des prises de position trop souvent simplifiées et confuses. L’existence de celles-ci a le mérite de mettre en évidence l’état de fatigue et d’exaspération à l’égard d’une dégradation réelle de nos conditions de travail. Cela ne suffit pourtant ni à faire une politique ni à clarifier les enjeux qui s’entrecroisent.
Nous sommes dans un débat compliqué dans la mesure où il se situe au croisement de plusieurs problématiques bien différentes et pas nécessairement convergentes :ans la mesure où il se situe au croisement de plusieurs problématiques bien différentes et pas nécessairement convergentes :
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- contribution volume horaire FC 16 mas 2014
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