Infos, un faux, et intox
Voir la suite au 30 mai 2012 "Abracadabradantesque"
Se multiplient des rumeurs savamment entretenues de plus en plus diverses et variées. La propension à les croire est une caractéristique des rumeurs. Nous sommes donc confrontés au dilemme classique : faut-il les démentir une à une au risque de leur offrir une forme de « reconnaissance » ou les ignorer au risque de leur laisser un espace pour prendre ?
Ainsi il est fait état d’une position ministérielle concernant le fait que le mandat des conseils serait terminé et qu’ils ne pourraient donc plus valablement siéger. Cette position est un faux. Aucune preuve de son existence n’est d’ailleurs apportée, si ce n’est un message dont la cohérence juridique est pour le moins hésitante pour ne pas dire inexistante. Manifestement, nous ne sommes plus à une intox près.
26 mai 2012
Quelques arguments attestant de l’intox
quand on se glorifie d’un soutien ministériel, on ne publie pas un document anonyme mais on identifie le message, sinon à quoi bon ?
quand un ministère répond à une demande, il passe par l’établissement pour la communiquer, cela s’appelle l’administration
quand un service juridique émet un avis, il ne commet pas l’erreur grossière de confondre proclamation des résultats et prise de fonction, à moins d’avoir été mal informé
et tout à l’avenant
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